Clioweb
Histoire et internet
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Frédéric Lordon
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source : http://marianne2.fr
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11 août 2011 : Le commencement de la fin
Frédéric Lordon, blog La pompe à phynance
http://blog.mondediplo.net/2011-08-11-Le-commencement-de-la-fin

 « Il faut fermer la Bourse! » - Marianne 8 mars 2010
http://www.marianne2.fr/Frederic-Lordon-il-faut-fermer-la-Bourse_a189692.html
Et si on fermait la Bourse ? Le Monde diplomatique
http://www.monde-diplomatique.fr/2010/02/LORDON/18789

- Le traitement médiatique de la crise financière,
"J'ai théorisé ma condition de cocu de l'histoire". Frédéric Lordon, économiste critique, invité de Maja Neskovic pour Arrêt sur images - 15 juillet 2009 - 81 mn.
http://clioweb.free.fr/debats/lordon.htm#asi
Version intégrale grâce à dailymotion 

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- La pompe à phynance, un blog du Diplo
http://blog.mondediplo.net/-La-pompe-a-phynance-

26 mai 2010 : La dette publique, ou la reconquista des possédants
18 mai : En route vers la Grande Dépression ?
11 mai : Sauver les banques. Jusqu’à quand ?
7 mai : Crise, la croisée des chemins
21 avril 2010 : La « régulation financière », entre contresens et mauvais vouloir

11 août 2011 : Le commencement de la fin
Frédéric Lordon, blog La pompe à phynance
http://blog.mondediplo.net/2011-08-11-Le-commencement-de-la-fin
 

- Sur le site J'ai dû louper un épisode :

    *  Crise: l'urgente nécessité de la nationalisation intégrale des banques
    *  La crise est celle du "capitalisme de basse pression salariale"
    *  Crise: Protectionnisme ?...
    *  Crise: Monnaie, Union Européenne... et pommes de terre

- Son site personnel :
http://frederic.lordon.perso.cegetel.net/ - internet archive 2008

- La revue du Mauss
http://www.journaldumauss.net/spip.php?auteur44

2008 La puissance des institutions 
2008 Un devenir spinoziste des sciences sociales ?
2007 - Genèse de l’Etat et genèse de la monnaie : le modèle de la potentia multitudinis 29 

- Le traitement médiatique de la crise financière,
"J'ai théorisé ma condition de cocu de l'histoire"
Frédéric Lordon, économiste critique, invité de Maja Neskovic 
(Arrêt sur images - 15 juillet 2009 - 81 mn).
Version intégrale grâce à dailymotion 

Acte 1 - La condition de "cocu" des économistes hétérodoxes
Acte 2 - Strauss-Kahn, les banquiers, le goudron et les plumes
Acte 3 - Vrais et faux prophètes de la crise
Acte 4 - Les retourneurs de veste et la "compote intellectuelle" de Nicolas Baverez
Acte 5 - Pourquoi Jon Stewart n'est-il pas français ?

extrait : http://www.dailymotion.com/swf/kIPPfbpMJChIoz1aoM3
ou second écran dans la page 
http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=2244
http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=2152 (payant).
 

Cet Arrêt sur images a été prolongé par 
un débat à distance entre Nicolas Cori et Frédéric Lordon
sur la tactique à tenir face aux médias.

- Les médias et la crise
L'annonce des Jeudis d'Acrimed (5/02/2009)
2 extraits (2*17 mn) sur dailymotion : extrait 1 - extrait 2 
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- Elie Cohen, Nicolas Baverez, Jacques Attali
Les disqualifiés. Le Monde diplomatique 11/2008
« Le libéralisme n’est donc pas la cause de la crise »,
quoique par autorégulation interposée il soit le problème... 
dont il est cependant « la solution (5) » — comprenne qui pourra. (Baverez - Le Monde 15/10/2008)

A ceux qui ont monopolisé le débat public et proposaient de "propulser toute l'épargne des Français sur les marchés financiers", Frédéric Lordon propose de "prendre des vacances. Et peut-être même de disparaître".
http://www.monde-diplomatique.fr/2008/11/LORDON/16500
 

Pour les vrais libéraux, la meilleure défense, c’est l’attaque
Le marché est la solution à la crise du marché/capitalisme
Enquête d'Eric Dupin
Madelin, Longuet, Novelli, Salin, Garello, Baverez, Manière, Slama
Comment esquiver le débat sur les vraies responsabilités
en se défaussant sur le voisin, 
ou en vilipendant une fois de plus l'Etat...
http://www.monde-diplomatique.fr/2009/02/DUPIN/16832

- Quand la finance prend le monde en otage (09/2007)
http://www.monde-diplomatique.fr/2007/09/LORDON/15074

" Pour en finir avec les crises financières "
Frédéric Lordon était invité del’Economie en questions le 3 novembre 2008

Bonnes feuilles dans L’humanité :
http://tinyurl.com/3pm8jc

Le coeur de l’ouvrage a été rédigé en mai...
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1941

1987, 1997, 2000, 2007
Crises financières, n’en tirer aucune leçon... (03/2008)
http://www.monde-diplomatique.fr/2008/03/LORDON/15659

Le paradoxe de la part salariale (25/02/2009)
http://blog.mondediplo.net/2009-02-25-Le-paradoxe-de-la-part-salariale

Crise : les outils de la reconstruction (24/05/2009)
http://ondemand.tv-radio.com/france_culture/ASUIVRE/ASUIVRE20090524.ram
ou
J’ai dû louper un épisode, dont
La crise est celle du " capitalisme de basse pression salariale "
http://www.jaidulouperunepisode.org/Interviews.htm
 

- En 2005 : L’Europe concurrentielle, ou la haine de l’Etat
http://econon.free.fr/Lordonhtml.html
Frédéric Lordon, dans les Matins de FC (lundi 9 mai 2005)

Un monde d'avance (21 mn) 15/10/2008
http://www.dailymotion.com/unmondedavance?hmz=74616272656c61746564

Marianne 2 (5 mn)
http://www.dailymotion.com/flash/dmplayer/dmplayer-fr.swf?1198008272

Ses participations à La-bas si j’y suis
http://www.la-bas.org/recherche.php3?recherche=Professeur+Lordon


- Lire aussi "Une ardoise de 55 000 milliards de $
(estimation du géographe Laurent Carroué)
http://clioweb.canalblog.com/archives/2009/07/19/14443570.html

- Les médias et la crise économique, dossier d'Acrimed
 


 

Arrêt sur images- 15 juillet 2009

18e : Les questions de Chabot à DSK et celles qu'elle aurait pu poser 

50 : Qui fabrique l'opinion ?
Editorialistes et experts habitués des médias font-ils l'opinion ?
Ou bien courent-ils après elle ?
"S'ils suivent, alors pourquoi s'emmerder à décrypter leurs discours..." interroge DS.
52 : un double pouvoir, auprès des décideurs plus que du public.
Celui de mettre à l'agenda certains thèmes de débats,
celui d'empêcher l'arrivée de sujets alternatifs.

56 : Séquence Les prévisions de Mme Irma (Yann Barthès le petit journal 11 mars 2009
" 2010 sera une année de redémarrage économique"
Oct 2007 : "la croissance tient aussi à la situation internationale. 
Celle-ci devrait nous être plutôt favorable en 2008".
Oct 2007 : "L'objectif que nous souhaitons atteindre, c'est de parvenir au plein emploi d'ici la fin du quinquennat. Oui, j'y crois"
oct 2008 L'Etat vient au secours du financenement de l'économie. Ce qui se passe aujourd'hui, c'est que cela commence à s'améliorer..."
"J'ai peur que le genre même affaiblisse la portée de cette démonstration"

1 h 02 - 1 06 : Le duo Jon Stewart - Jim Cramer, à défaut d'équivalent français

1 h 12 : Une émission quotidienne ?
Je me méfie du job de chroniqueur comme de la peste.
C'est 3 ou 5 mn.
On n'a pas un truc intelligent à dire tous les matins.
On finit par dire des conneries

1 h 17 Madoff
Criminaliser les crises financières, c'est le plus sûr moyen de ne rien voir des causes profondes.

1 h 19 : Des univers cloisonnés, mais une congruence non délibérée entre 2 logiques,
la logique fait-diversière des médias (montrer de vraies crapules menottées) ,
la logique idéologique de sauvegarde du système.
 

Acrimed - 5 févier
Quand les faiseurs d'opinion retournent leur veste...

3 groupes de retourneurs de veste :
- Les enragés qui ne veulent rien lâcher. Ils croient un truc, ils le défendent mordicus, ils ne baissent pas pantalon à la première bourrasque.

- Ceux qui ont du mal à se défaire d'une croyance passée et bricolent une épouvantable tambouille. Baverez, la pensée à l'état de pochoir : l'Etat est horrible mais nécessaire,  le marché est essentiel à l'organisation économique mais il produit sans cesse des catastrophes, les nations sont éternelles, mais le protectionnisme menace.

- Ceux qui tentent de se faufiler en douce
Elie Cohen a tjs su que Keynes est le penseur cardinal de la science économique,
Terra Nova veut réfléchir à la crise financière en faisant appel à des banquiers d'affaire...

Ils ont tous mené le combat pour installer un ordre fondé sur la déréglementation financière, la concurrence généralisée, l'orthodoxie politique et économique, les privatisations et le désengagement de l'Etat, avec à la rigueur un volant social pour passer serpillère sur les dégats produits par une telle politique.

Tous ont été reconduits rubis sur l'ongle dans les médias.
Faire entendre un autre son de cloche, ce serait admettre une double erreur.
C'est impensable. D'où une entreprise de blanchiment intellectuel collectif et mutuel d'ampleur jamais vue. C'est extraordinaire et révoltant.


 

D Letouzey 2009
http://clioweb.canalblog.com/